mercredi 28 décembre 2011

Nouvelle du 28 décembre 2011


Il est moins une pour l’APSQ – Mot du président .
Mercredi, 28 Décembre 2011 00:50 .C’est avec tristesse et le sentiment d’avoir failli à ma mission que j’annonce mon retrait à la direction de l’Association des pêcheurs sportifs du Québec (APSQ) à la fin de mon mandat d’une année qui se termine le 1er avril 2012.

Je dois me rendre à l’évidence qu’il m’est impossible de mener le combat des accès publics aux plans d’eau seul. Depuis le mois de décembre 2008, un appel à tous que j’avais fait sur le site Québec Pêche a permis à l’association d’obtenir ses lettres patentes au début 2009. Pendant ces trois années, j’ai été président par intérim d’octobre 2009 à avril 2010 et finalement président d’avril 2011 à ce jour. Toutes ces années, j’ai fait partie de l’exécutif de l’APSQ et je me suis occupé du site Internet. Depuis avril 2012, en plus de la présidence de l’APSQ, j’occupe également le poste de trésorier, webmaître et directeur des communications.

Avec les années, l’APSQ est devenu une association respectable, nous avons incité la Fédération québécoise des Chasseurs et Pêcheurs à s’occuper du dossier des accès, un dossier qui était sur une tablette depuis le début des années 2000. Des journalistes nous consultent lorsque vient le temps d’écrire sur le sujet des accès publics. Le nom de l’association est cité dans les magazines de Chasse et Pêche. Je trouve vraiment dommage de lancer la serviette à ce moment-ci de l’existence de l’APSQ, mais je dois me rendre à l’évidence que c’est impossible pour un petit groupe de bénévole à temps partiel de s’occuper d’une association et faire avancer les dossiers de façon satisfaisante.

Nos cours d’eau, portrait de la situation
Plusieurs municipalités se moquent carrément des plaisanciers. Ils ont l’audace d’imposer des frais à l’utilisation journalière d’au-delà de 200 $. Ils vont même jusqu’à demander une preuve de séjour d’un minimum de 2 jours dans un établissement sur le territoire de la municipalité en plus des frais de lavage et de descente.
Je crois fermement que ces situations aussi farfelues les unes que les autres doivent être dénoncées par les citoyens du Québec. Malheureusement, trop peu de Québécois s’inquiètent de la situation et ce n’est que le jour où ils se verront interdire l’accès à un lac après avoir déboursé pour l’achat d’une dispendieuse embarcation qu’ils se rendront compte de l’ampleur du problème.

Nouveaux dangers
Il y a de nouveaux dangers qui menacent le libre accès aux plans d’eau publics, je pense au projet de loi 57 qui vise à déléguer la gestion des terres publiques à proximité des centres urbains (forêts de proximités) aux MRC et aux groupes autochtones. Ces groupes pourront à leurs guises trouver des façons originales d’amasser des fonds afin de mettre leurs territoires en valeur. Le manque de ressources financières de notre gouvernent force ce dernier à balayer ses responsabilités dans la cour des municipalités et des MRC forçant ces derniers à imposer des frais de toute sorte afin de combler ces nouveaux frais imposer par le gouvernement.

Une dernière chance.
Je suis conscient que cette bataille ne pourra être gagnée seul et je sais aussi que je n’ai pas la personnalité et le charisme pour être président et rassembler les gens. Alors, à la fin de mon mandat, le 1er avril 2012, je vais dissoudre l’association et faire un don à la Fondation de la faune du Québec.
D’ici là, si des bénévoles sont intéressés à poursuivre la mission de l’APSQ, je vous invite à me contacter via le site Internet de l’APSQ (www.APSQ.ca) et me faire part de vos intentions. Je suis disposé à m’occuper de la trésorerie et du site Internet pour une année supplémentaire si le nombre de directeurs est suffisant.

Je profite de l’occasion pour offrir mes vœux de bonheurs, santé et prospérités à toute la communauté des pêcheurs sportifs du Québec.

Stéphan Bourgeois, président
Association des pêcheurs Sportifs du Québec.

lundi 26 décembre 2011

Joyeuses Fêtes à tous!


Je profite de quelques instants de répit pour vous souhaiter de Joyeuses Fêtes et un Bonne Année 2012! Je vous souhaite la santé et surtout tous les poissons, dindons, sauvagines, ours, chevreuils et orignaux de vos rêves en 2012! Mille mercis aux auditeurs fidèles du MPAS ainsi qu'aux collaborateurs et partenaires de cette émission de plein air, chasse et pêche sur les ondes de CJIT-FM 106,7 Lac-Mégantic. A bientôt pour d'autres nouvelles et le MPAS 2012!

Yves

mardi 20 décembre 2011

Nouvelle du 20 décembre 2011


DINDON 2011 : une autre très bonne année!

Ceux qui redoutaient les impactes négatifs de l'hiver 2010-11 sur le cheptel de dindons sauvages du Québec se réjouiront car la récolte 2011 est excellente selon les statistiques compilées par le MRNF. La récolte de gibier ainsi que le nombre d'adeptes ont augmenté par rapport à 2010. Les chasseurs ont récoltés 1458 dindons la saison dernière par rapport à 1332 en 2010.On a vendu un total de 5467 permis soit 979 de plus qu'en 2010. Somme toute, le succès de chasse est de 26,66 % pour cette deuxième saison de 12 demie-journées de chasse au dindon sauvage. La saison de chasse au dindon 2012 s'avère donc très prometteuse.

Source : www.mrnf.gouv.qc.ca

vendredi 16 décembre 2011

Nouvelle du 16 décembre 2011


Nourrissage du cerf de Virginie en hiver - Une pratique déconseillée par le ministère des ressources naturelles et de la faune
Québec, le 15 décembre 2011 – Le ministère des Ressources naturelles et de la Faune (MRNF) rappelle aux citoyens de ne pas nourrir les cerfs de Virginie, et ce, particulièrement en hiver.
De manière générale, le nourrissage nuit à la santé des cerfs. Les effets négatifs générés par l'apport de nourriture peuvent être nombreux :
Maladies et mortalité engendrées par la consommation d'aliments inadéquats;
Transmission de maladies et de parasites au site de nourrissage : ingestion de nourriture contaminée par la salive, l'urine et les excréments;
Accidents routiers lorsque les sites de nourrissage sont situés à proximité des routes;
Braconnage : le nourrissage facilite l'abattage des cerfs hors saison à courte distance;
Domestication des cerfs (inhibition de la peur et dépendance à l'égard des humains pour se nourrir);
Perte du comportement de migration saisonnière;
Présence de cerfs en dehors de leurs ravages, dans des milieux moins favorables à leur survie.
En général, les cerfs n'ont pas besoin d'un apport de nourriture fournie par l'humain. Ils évoluent sous notre climat grâce à deux adaptations importantes en hiver : sur le plan physiologique, le cerf modifie ses habitudes alimentaires limitant l'ingestion de nourriture et utilisant les réserves de graisses accumulées durant la belle saison; sur le plan comportemental, les cerfs réduisent leurs déplacements. Ils quittent les habitats d'été lors des premières chutes de neige importantes pour se regrouper dans les ravages où le couvert de résineux, les pentes et l'exposition limitent l'accumulation de neige.

Les spécialistes du MRNF assurent un suivi des populations de cerfs au Québec et adaptent les modalités de chasse en tenant compte des facteurs de mortalité naturelle tels que la rigueur de l'hiver.

Le cerf de Virginie est un animal sauvage qui fait partie du patrimoine naturel du Québec. Il en va de la responsabilité de tous les citoyens de conserver un cheptel en santé en évitant de nourrir les cerfs de façon inappropriée et de les attirer ainsi hors de leur milieu naturel.

jeudi 15 décembre 2011

Nouvelle du 15 déc 2011


Le ministre Simard annonce les mesures prévues pour 2012-2019
Québec, le 15 décembre 2011 – Le ministre délégué aux Ressources naturelles et à la Faune et ministre responsable de la région du Saguenay-Lac-Saint-Jean et de la région de la Côte-Nord,M. Serge Simard, rend publiques les orientations du Plan de gestion de l'orignal pour la période 2012-2019.

Dans le cadre de ce plan de gestion, les densités optimales de population d'orignaux ont d'abord été définies pour chaque zone de chasse. L'objectif est de stabiliser les populations d'orignaux à leur niveau actuel dans l'est de la province, de part et d'autre du fleuve Saint-Laurent, soit en Gaspésie, dans le Bas-Saint-Laurent, en Chaudière-Appalaches, en Estrie, au Saguenay-Lac-Saint-Jean et dans la Capitale-Nationale. Dans d'autres régions, soit en Abitibi-Témiscamingue, en Outaouais, dans les Laurentides, la Mauricie et la Côte-Nord, l'objectif consiste plutôt à accroître les cheptels.

« Les modalités de ce nouveau plan de gestion sont le fruit d'un travail de collaboration. Elles résultent des nombreuses consultations tenues dans toutes les régions du Québec, avec la Table nationale de la faune et les tables faune régionales. Ces modalités s'inscrivent dans la continuité du plan précédent, tout en répondant à diverses préoccupations des chasseurs et des citoyens », indique M. Simard.

Les modalités d'exploitation mises en place pour atteindre les objectifs de ce plan tiennent compte d'éléments tels que le partage du territoire public et les besoins de la relève. Parmi les mesures prévues, certaines entreront en vigueur dès la mise en œuvre du plan de gestion, soit à l'automne 2012, tandis que d'autres seront applicables à mi-parcours du plan. Les objectifs ultimes devront être atteints en 2019.

Par ailleurs, le plan de gestion a pour but de faire bénéficier les chasseurs des efforts consentis dans les plans précédents pour accroître les populations d'orignaux. Il reconduit ainsi le principe de l'alternance des années permissives, une modalité simple et équitable pour tous les chasseurs, et ce, sans déboursé supplémentaire lié à l'application du tirage au sort.

Le cheptel, estimé à près de 120 000 orignaux (après chasse), a plus que doublé en l'espace de 15 ans. En instaurant le principe de l'alternance (chasse sélective des femelles adultes), les plans de gestion précédents ont permis la croissance des populations dans la majorité des zones.

Au Québec, la récolte annuelle d'orignaux par la chasse atteint maintenant des densités records, soit près de 27 000 orignaux durant les années permissives où la récolte des mâles, des femelles et des faons est autorisée. Le MRNF considère que la récolte atteint pratiquement son niveau optimal dans plusieurs régions.

Avec plus de 178 000 permis de chasse à l'orignal délivrés en 2011, le nombre de chasseurs d'orignaux a atteint des niveaux inégalés jusqu'à présent. La hausse des récoltes et le succès de chasse semblent inciter plusieurs chasseurs à profiter de la qualité de chasse offerte.

« Les plans de gestion sont des outils indispensables puisqu'ils nous permettent de maintenir un juste équilibre entre l'intérêt des chasseurs pour cette activité, la valorisation de la ressource faunique et sa pérennité », conclut le ministre Simard.

mercredi 14 décembre 2011

Nouvelle du 14 déc 11: Un régistre québécois des armes à feu ?


Registre des armes à feu : Québec va entamer un recours judiciaire
Quelle est votre opinion sur cette proposition de Québec? Écrivez-moi à yves@cjitfm.com

Le ministre de la Sécurité publique du Québec, Robert Dutil, change de ton dans le dossier de l'abolition du registre des armes d'épaule. Après avoir espéré convaincre Ottawa de conserver les données du registre, Québec annonce maintenant qu'il entamera une action en justice si Ottawa adopte le projet de loi C-19 qui en prévoit la destruction.

Le ministre n'a toutefois pas précisé quel type de recours judiciaire il comptait entreprendre. Il pourrait par exemple demander une injonction temporaire pour éviter que les données ne soient détruites.

D'entrée de jeu, le ministre a dit souhaiter d'abord et avant tout le maintien du registre des armes d'épaule, « à défaut de quoi, les données devront être sauvegardées et nous être transmises ».

Selon le ministre Dutil, il y a une volonté claire au Québec pour une conservation de ces données. Il a rappelé que l'Assemblée nationale avait adopté huit motions unanimes demandant au gouvernement fédéral de maintenir le registre.

« Je suis d'avis qu'un système d'enregistrement des armes d'épaule est utile et essentiel pour le Québec aux fins de la prévention du crime, dont la violence conjugale, du travail des policiers et de l'administration de la justice. » — Le ministre de la Sécurité publique, Robert Dutil

Le ministre a également mentionné que le projet de loi C-19 constitue un recul par rapport aux règles qui existaient avant l'entrée en vigueur du registre, en 1998. Avant cette date, les marchands d'armes étaient notamment dans l'obligation de tenir un registre des ventes, qui incluait des données sur l'acquéreur. Le vendeur devait aussi vérifier si l'acheteur détenait un permis d'acquisition.


Pas de réponse positive du fédéral

Le ministre a précisé qu'il avait transmis un certain nombre de demandes au ministre fédéral de la Sécurité publique, dont le retrait du projet de loi de la destruction des données du registre, ou à tout le moins, une exception de préservation des données pour les provinces intéressées.

Dans cette lettre à son homologue fédéral, il mentionnait également l'importance de la réintroduction des mesures qui prévalaient avant 1998 pour les vendeurs d'armes à feu. « À ce jour, le Québec n'a reçu aucune réponse favorable à ses demandes », a ajouté M. Dutil.
« Dans ce contexte, dès la sanction de C-19, le gouvernement du Québec s'adressera aux tribunaux afin de récupérer les données des certificats d'enregistrement des armes à feu sans restriction des citoyens québécois inscrites dans le registre canadien. » — Robert Dutil
Robert Dutil a ensuite affirmé qu'advenant un jugement favorable, son gouvernement déposerait un projet de loi pour créer son propre registre à partir des données transférées par le gouvernement fédéral.
Le ministre a par ailleurs jugé qu'il était « injuste et inéquitable » pour les Québécois qui ont contribué par leurs impôts à la création de ce registre que les données soient détruites « sans que préalablement ne soit offerte au gouvernement du Québec la possibilité de les récupérer ».
Le projet de loi C-19, qui prévoit l'abolition du registre et la destruction de ses données, est actuellement en deuxième lecture à la Chambre des Communes. Il devra d'abord faire l'objet d'une troisième lecture et obtenir l'approbation du sénat avant d'être adopté. Les conservateurs sont majoritaires dans les deux chambres.
Appui du SPVM
Le Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) a par ailleurs donné son appui, mardi, au ministère de la Sécurité publique dans sa démarche de rapatrier les données québécoises du registre des armes d'épaule.

Le SPVM a indiqué que le registre fait partie des stratégies pour lutter efficacement contre les crimes violents, précisant qu'il est actuellement consulté 354 fois par jour par les policiers de Montréal.

Source : Radio-canada.ca

Quelle est votre opinion sur cette proposition de Québec? Écrivez-moi à yves@cjitfm.com

dimanche 11 décembre 2011

Nouvelles semaine du 10 décembre 2011


Quelques nouvelles d'intérêt:

Pêche et villégiature à la Sépaq : nouvelles modalités très populaires
Québec, le 6 décembre 2011 – Entre le 25 novembre et le 4 décembre, la Société des
établissements de plein air du Québec (Sépaq) lançait de nouvelles modalités de
réservation des séjours de pêche et de villégiature avec hébergement en chalet dans les
réseaux des réserves fauniques et des parcs nationaux. Le mode de réservation directe par
téléphone et par Internet, comparé à l’ancien tirage au sort, a suscité beaucoup
d’engouement chez les habitués, mais aussi de la part de nouveaux clients. La réponse de
la population à ces nouvelles façons de faire a satisfait les attentes des dirigeants de la
Sépaq pour qui ce changement visait notamment à conquérir de nouveaux pêcheurs et
ainsi susciter la relève. « Cela démontre que la population est ouverte aux changements
que nous proposons. Nous allons donc poursuivre dans cette voie afin de rendre nos
territoires et nos activités encore plus accessibles » a déclaré le P.D.G. monsieur
Raymond Desjardins.
Un changement bien accueilli
Tout au long de l’opération de lancement des réservations, les usagers ont fait part de
commentaires enthousiastes sur les nouvelles modalités autant en ce qui concerne la
réservation directe qu’en ce qui a trait à la nouvelle tarification. Dans l’ensemble, la
réservation sur le site transactionnel a été très populaire malgré quelques ralentissements
aux heures de pointe. D’ailleurs, près de la moitié des réservations ont été prises en ligne.
On note que les réservations sont en hausse comparativement aux dernières années.
Malgré cet engouement, il reste encore plus de la moitié de l’offre à combler en ce qui
concerne les séjours en chalet, que ce soit pour la pêche ou pour la villégiature. De très
bonnes dates sont donc toujours disponibles.
Séjours d’une nuitée maintenant possibles
Parmi les nouvelles modalités de réservation, la possibilité d’obtenir un séjour d’une seule
nuitée saura certainement intéresser les amateurs de pêche qui manquent de temps pour
effectuer de plus longs séjours. Il s’agit d’une opportunité unique dans le domaine de la
pêche!
Annulation et opportunités
Comme les réservations peuvent être annulées sans frais dans un délai d’une semaine,
d’excellentes dates pour des séjours de pêche, notamment en début de saison, pourraient
redevenir disponibles ces jours-ci. La Sépaq invite donc les pêcheurs à surveiller le calendrier
de disponibilité des chalets qu’ils convoitent pour saisir ces opportunités.
Les réservations se poursuivent
La réservation pour les séjours de pêche et de villégiature se poursuit jusqu’à la fin de la
saison de pêche, en tout temps sur le site transactionnel de la Sépaq (www.sepaq.com) et par
téléphone : de 9 h à 19 h en semaine et de 9 h à 17 h, les week-ends.

Le 62e congrès de la Fédération des pourvoiries du Québec; toute une réussite
Québec, 5 décembre 2011 – La Fédération des pourvoiries du Québec (FPQ) a tenu son 62e congrès de la pourvoirie ayant comme thème Chasse, Pêche et Tourisme : notre vraie Nature du 30 novembre au 2 décembre 2011 à l’Hôtel Hilton de Québec. La FPQ est fière de la contribution de ses pourvoiries membres et de la qualité des échanges tenus lors de l’évènement qui s’est avéré un succès sans précédent. De plus, nous tenons à confirmer la participation au banquet officiel de M. Serge Simard, ministre délégué aux Ressources Naturelles et à la Faune ainsi que l’honorable Denis Lebel, ministre de l’Agence de développement économique du Canada pour les régions du Québec.

Lors du banquet tenu le 1er décembre 2011, la FPQ a procédé à la remise de ses deux prix annuels. C’est donc avec enthousiasme que Norman Ouellette, président du Conseil d’administration de la FPQ, a remis le prix Réal-Melançon à M. André Garneau, représentant Yamaha et Artic Cat chez Saguenay Marine de Jonquière au Saguenay, pour son dévouement et son travail auprès des pourvoyeurs du centre et de l’Est du Québec depuis maintenant 20 ans. Quant au prix André-Blanchard, il a été remis à Claude Rémillard, propriétaire de la pourvoirie le Domaine Preissac de 1999 à 2011 et membre très impliquée dans l’Association régionale des pourvoiries de l’Abitibi-Témiscamingue, pour ses qualités de mobilisateur, son intégrité et son professionnalisme.

Nous invitons tous ceux n’ayant pu se présenter à ce 62e congrès de la pourvoirie à consulter les résumés de conférence disponibles au www.pourvoiries.com, dans la section « Actualités ». La FPQ tient à remercier tous ses commanditaires et partenaires qui assurent, par leur contribution et participation, la pérennité ainsi que le succès de cet évènement :

Commanditaires officiels : Ministère des Ressources naturelles et de la Faune, Assurances Provencher Verreault, Masse Communication, Yamaha Moteur du Canada ltée.
Commanditaires majeurs : Techni-Géni Environnement, Rona, Safari Club international, Fondation de la
Faune du Québec.

Commanditaires associés : Cain Lamarre Casgrain Wells, Salon Expert Chasse, Pêche et Camping de Montréal et de Québec, Kéroul, Gestion Loisir Chasse Pêche, Agence Gravel (Le Camp en pourvoirie), Bridor, Les bateaux Lund, Mercury Marine, Les Équipements Maniwaki, Les toiles & Bois Cabanon, George Courey, Centre de formation Professionnelle La Baie.
Collaborateurs : Groupe Voyages Québec, Fédération des trappeurs gestionnaires du Québec, Fédération québécoise pour le saumon atlantique, Latulippe, Hilton Québec


Réseau Sépaq
Début des réservations en prêt-à-camper


Québec, le 8 décembre 2011. – La Société des établissements de plein air du Québec
(Sépaq) tient à rappeler au public que les réservations pour les prêts-à-camper
débuteront mardi prochain 13 décembre. Dès cette date, les campeurs pourront faire
leurs choix parmi les tentes Huttopia, les tentes Hékipia et les tentes-roulottes
accessibles à l’été 2012.
Depuis quelques années déjà, la demande est particulièrement forte pour une solution
de camping clés en main. Ces nouveaux produits permettent d’attirer une clientèle qui
préfère voyager léger, sans s’embarrasser de tout le matériel nécessaire.
Précurseur du prêt-à-camper, la tente-roulotte a fait son entrée dans les parcs nationaux
à l’été 2007. On en dénombre aujourd’hui 42 dans 9 parcs nationaux et 1 réserve
faunique. Par ailleurs, la tente Huttopia, présente uniquement dans les parcs nationaux,
et la tente Hékipia, que l’on retrouve à la fois dans les réserves fauniques ou les centres
touristiques, répondent elles aussi aux critères de confort et d’authenticité recherchés
par ces amateurs de plein air voulant camper sans tracas dans de magnifiques
territoires naturels.
Dans le paysage des parcs nationaux
Les parcs nationaux du réseau Parcs Québec sont aussi nombreux que diversifiés.
C’est pour cette raison que tant de Québécois prennent les routes à la rencontre de ces
grands espaces protégés. Un choix impressionnant d’activités de plein air et de
découverte, une faune et une flore diversifiées, un riche patrimoine historique justifient
grandement chacune des visites. Pour certains amateurs, dormir en tente Huttopia
permet de vivre l’expérience parc en toute simplicité.
Introduite en 2008, la tente Huttopia a connu un succès incroyable. Tout le monde a
entendu quelqu’un parler de quelqu’un qui en a fait l’essai. De rumeur en rumeur, cette
tente est devenue un phénomène qui a fait passer son nombre de 60 à 249, dont
16 nouvelles en 2012. Quatorze parcs nationaux, parmi les 23 du réseau, accueillent
ces tentes.
Dans le paysage des réserves fauniques
Les réserves fauniques sont des territoires qui gagnent à être connus. Leur petit côté
sauvage mérite qu’on y oppose un petit côté un peu plus givré pour accueillir de
nouveaux explorateurs. C’est un peu dans cette optique que 20 tentes Hékipia, dont 10
nouvelles en 2012, sont dressées sur des sites de camping exceptionnels dans les
réserves fauniques des Laurentides, de La Vérendrye (Outaouais), Mastigouche, de
Papineau-Labelle, du Saint-Maurice et de Portneuf (nouveau). Grâce à ce prêt-àcamper,
l’occasion est belle de découvrir les réserves fauniques en camping tout confort
et d’en profiter pour s’initier à la pêche.
Aussi, trois tentes-roulottes sont installées au camping du Lac-des-Sucreries, dans la
réserve faunique Rouge-Matawin.
Dans le paysage des centres touristiques
Implantée en 2010 au nombre de cinq dans le réseau des centres touristiques, plus
précisément au Centre touristique du Lac-Simon, la tente Hékipia a vite fait de passer le
test auprès de la clientèle familiale qui en redemande dès l’année suivante. Rapidement,
le Centre touristique du Lac-Kénogami, le Camping des Voltigeurs et le Camping de la
Baie-de-Percé ont eu les leurs, permettant ainsi aux amateurs de plein air de circuler
parmi des établissements particulièrement prisés des familles. Au total cet été, les
centres touristiques auront pas moins de 50 tentes, dont 25 nouvelles.
Questions pratiques
· Toutes les tentes déjà offertes à l’été 2011 peuvent faire l’objet d’une
réservation dès le 13 décembre. Cependant, les nouvelles tentes Huttopia dans
les parcs nationaux et les nouvelles tentes Hékipia dans les réserves fauniques
ne pourront être réservées qu’un peu plus tard dans la saison.
o Huttopia (16 nouvelles tentes)
o Hékipia (10 nouvelles tentes)
· La tente Hékipia est assez semblable à la tente Huttopia, c’est-à-dire qu’elle
dispose de chauffage d’appoint, d’un dortoir cloisonné en deux chambres avec
lits et de tout le nécessaire pour cuisiner. Dans les deux cas, elles peuvent
accueillir jusqu’à cinq personnes ou quatre adultes. Seuls certains aspects de
leur structure (porte, dimensions, matériaux), leur mobilier et leur plate-forme
diffèrent l’une de l’autre.
De son côté, la tente-roulotte peut loger jusqu’à six personnes. Comme la tente
Huttopia et la tente Hékipia, elle dispose de chauffage d’appoint permettant de
camper dès les premiers jours de la saison, et ce, jusqu’en automne.
· Que l’on opte pour la tente Huttopia, la tente Hékipia ou la tente-roulotte, il est
possible d’effectuer sa réservation par téléphone en composant le 1 800 665-
6527 ou en ligne au www.sepaq.com. Ainsi, en réservant dès 9 h le
13 décembre, les campeurs s’accordent les meilleures chances de profiter du
séjour de leur choix.

dimanche 4 décembre 2011

Nouvelles du 3 décembre 2011


Quelques nouvelles pour vous:

12e souper-bénéfice d’Héritage faune
LA GÉNÉROSITÉ TOUJOURS AU RENDEZ-VOUS!


Québec, le 23 novembre 2011 – Héritage faune, la fondation officielle de la Fédération québécoise des chasseurs et pêcheurs a tenu son douzième souper-bénéfice annuel. Le vendredi 18 novembre, plus de 300 convives se sont réunis à l’Hôtel Plaza de Québec. Grâce à la générosité de tous, la tenue de cette soirée aura permis d’amasser près de 80 000 $.
Chaque année, cet argent est redistribué en bourses « Relève », qui permettent aux associations de chasse et de pêche membres de la Fédération québécoise des chasseurs et pêcheurs de développer et de réaliser des projets favorisant la relève à la chasse et à la pêche.
De nombreux commanditaires ont aussi contribué à amasser des sommes importantes en donnant des objets pour les enchères criées et silencieuses. Plusieurs personnes ont également alloué de leur temps afin de faire de cette soirée une réussite. Héritage faune tient d’ailleurs à remercier monsieur André Tremblay, président directeur-général du Conseil de l’industrie forestière du Québec (CIFQ) pour son engagement en tant que président d’honneur pour ce douzième souper-bénéfice.
Le programme de bourses « Relève » représente le volet le plus productif et sollicité d’Héritage faune. En 2011, près de 91 000 $ ont été redistribués encourageant ainsi la réalisation de 92 projets. Près de 800 000 $ ont été investis au cours des 12 dernières années dans ce programme visant à favoriser la relève.
Héritage faune (www.fedecp.com) est la première fondation québécoise à se donner pour mission la restauration des habitats fauniques. Créée en 1980, elle se consacre plus spécifiquement à promouvoir, susciter et soutenir divers projets d'aménagement faunique, aquatique et terrestre, ainsi que des études, des recherches et des programmes d'éducation publique valorisant la faune et ses habitats.

forÊts de proximitÉ : la FÉdÉCP prÔne l’accessibilitÉ universelle À la ressource faunique
Québec, le 30 novembre 2011 - La Fédération québécoise des chasseurs et pêcheurs (FédéCP) a déposé au ministère des Ressources naturelles et de la Faune (MRNF) un mémoire au sujet des forêts de proximité. La FédéCP soutient par ce document que ces structures régionales de gestion des ressources naturelles, prévues par le nouveau régime forestier, devront voir à concilier des objectifs de conservation et de mise en valeur de la faune, tout en maintenant l’accessibilité universelle à la ressource faunique.
Depuis toujours, la FédéCP fait la promotion de l’impact économique de la chasse et de la pêche, particulièrement dans les régions du Québec. La venue des forêts de proximité soulève cependant d’importantes questions relatives à la préservation des principes fondamentaux qui encadrent présentement les activités de prélèvement au Québec. Qu’adviendra-t-il des balises nationales qui soutiennent les plans de gestion des gibiers ? Quelles seront les normes qui encadreront dans ce contexte la préservation de la notion que la faune est une richesse collective ? Quels seront les effets que pourraient avoir les forêts de proximité sur l’équilibre qui s’est établi entre les pourvoiries, les réserves fauniques, le territoire libre et les zecs et qui répond actuellement aux besoins de la clientèle des chasseurs et pêcheurs et aux impératifs de conservation des populations de gibiers ?
Le mémoire de la FédéCP soutient qu’il faut respecter le désir des régions de participer à la gestion et à l’exploitation de leurs richesses naturelles et aux décisions qui concernent la faune. Le président de la FédéCP, monsieur Pierre Latraverse, soutient néanmoins que, sans s’opposer à la venue de ces structures de gestion, la FédéCP défendra avec vigueur le fait que les terres publiques, y compris les territoires libres, ainsi que les ressources fauniques qui s’y trouvent, appartiennent à tous les Québécois et que ces derniers ont le droit formel d’en profiter, peu importe leur région d’origine, et ceci à des coûts équitables.
Il est possible de consulter le mémoire complet de la FédéCP sur les forêts de proximité au www.fedecp.com dans la section Documentation - Forêt et territoire.